Ce qu’il faut manger quand on est (presque) enceinte

salade, fruit, baie

La grossesse commence avant le test ! Et à ce qu’il paraît, mieux vaut adapter son régime alimentaire.

C’est décidé ?
Bon, alors on ne fume plus, ou peu, on ne boit plus (tolérance zéro, études à l’appui) et, en période périconceptionnelle (du moment où l’on exprime un désir d’enfant jusqu’à 10 semaines après la conception), on soigne son alimentation.

Les changements.
Plébiscités, les fruits et légumes pleins de vitamines, les eaux plates et les poissons. Ecartés (provisoirement), les camemberts au lait cru et les tartares (possiblement riches en listéria, une bactérie redoutable pour le foetus).

Et les compléments alimentaires ?
Les folates (vitamine B9) sont systématiquement conseillés. A piocher dans les fruits et légumes (verts à feuilles), de 28 jours avant la conception jusqu’à 12 semaines de gestation. L’enjeu ? Eviter un défaut de fermeture du tube neural (moelle et cerveau). Anticipant les avis des experts, les industriels proposent aussi des compléments d’iode, nécessaire au développement optimal du cerveau. Pour le fer (qui prévient la prématurité ou un petit poids de naissance), on attend la prise de sang au 1er trimestre. Oui aussi à la vitamine D, surtout si la grossesse se passe en hiver. A la carte des compléments alimentaires spécifiques : Compléal grossesse, Fémibion, ou deux verres de Lactel Maman.

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